Archives de l’auteur : Amadou Gueye

Yacouba SAWADOGO : Du « fou » de Gourga au héros planétaire !

Dakar le 17 Juin . – A l’occasion de la journée mondiale de lutte contre la désertification et la sécheresse, nous faisons un zoom sur une personne qui a fait de cette thématique, son combat à vie. Son seul nom est évocateur pour parler de lutte contre le changement climatique et la désertification au Sahel.  Mais aborder toute son histoire  et son combat, il en faut plus qu’un article de presse. Cette personne n’est autre que Yacouba SAWADOGO, un octogénaire originaire  du Nord du Burkina Faso qui s’est illustré dans la lutte contre l’avancée du désert.

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Revue de Presse sur la COVID-19/Press Review on COVID-19

 

 

REVUE DE PRESSE SUR LA COVID-19 DU 29 JUILLET 2020

REVUE DE PRESSE SUR LA COVID-19 DU 28 JUILLET 2020

REVUE DE PRESSE SUR LA COVID-19 DU 27 JUILLET 2020

REVUE DE PRESSE SUR LA COVID-19 DU 25 JUILLET 2020

REVUE DE PRESSE SUR LA COVID-19 DU 24 JUILLET 2020

REVUE DE PRESSE SUR LA COVID-19 DU 23 JUILLET 2020

REVUE DE PRESSE SUR LA COVID-19 DU 21 JUILLET 2020

REVUE DE PRESSE SUR LA COVID-19 DU 20 JUILLET 2020

REVUE DE PRESSE SUR LA COVID-19 DU 18 JUILLET 2020

REVUE DE PRESSE SUR LA COVID-19 DU 17 JUILLET 2020

REVUE DE PRESSE SUR LA COVID-19 DU 16 JUILLET 2020

REVUE DE PRESSE SUR LA COVID-19 DU 15 JUILLET 2020

REVUE DE PRESSE SUR LA COVID-19 DU 13 JUILLET 2020

REVUE DE PRESSE SUR LA COVID-19 DU 11 JUILLET 2020

REVUE DE PRESSE SUR LA COVID-19 DU 10 JUILLET 2020

REVUE DE PRESSE SUR LA COVID-19 DU 9 JUILLET 2020

REVUE DE PRESSE SUR LA COVID-19 DU 8 JUILLET 2020

REVUE DE PRESSE SUR LA COVID-19 DU 7 JUILLET 2020

REVUE DE PRESSE SUR LA COVID-19 DU 6 JUILLET 2020

REVUE DE PRESSE SUR LA COVID-19 DU 4 JUILLET 2020

REVUE DE PRESSE SUR LA COVID-19 DU 3 JUILLET 2020

REVUE DE PRESSE SUR LA COVID-19 DU 2 JUILLET 2020

REVUE DE PRESSE SUR LA COVID-19 DU 1er JUILLET 2020

 

Compilation de vidéos sur le COVID-19 en Wolof

Cette compilation de vidéos résume les différentes dispositions à prendre en terme de prévention pour lutter contre la propagation du coronavirus en langue locale (Wolof). C’est une compilation faite par le Centre d’Information des Nations Unies de Dakar. Cliquez sur le lien pour voir la vidéo postée dans notre chaîne YOUTUBE

Mme Mame Bousso Samb du Sénégal, Actrice privilégiée, Présidente d’honneur du Forum des Éducatrices Africaines (FAWE), fait le bilan des 25 ans après la conférence de Beijing.

Dakar le 7 mars 2020. – Cette année, la journée internationale de la femme est marquée par les 25 ans après Beijing. C’est l’occasion pour tous les acteurs et témoins de cette importante rencontre de faire le bilan. Ainsi, le Centre d’Information des Nations Unies de Dakar est allé à la rencontre de Madame Mame Bousso Samb qui a participé activement aux travaux de la Conférence de Beijing. Elle a dirigé le pôle focal de l’éducation de base et de la parité au moment de cette conférence. C’est une voix autorisée qui parle des avancées et des goulots d’étranglement depuis Beijing.

Mme Mame Bousso Samb, Présidente d’honneur du Forum des Educatrices Africaines (FAWE)

Mme Mame Bousso Samb, Présidente d’honneur du Forum des Educatrices Africaines (FAWE)

Faut -il rappeler que Mme Mame Bousso Samb est membre fondatrice du Conseil Sénégalais des Femmes (COSEF). Aujourd’hui elle est Présidente d’honneur du Forum des Éducatrices Africaines (FAWE).

Suivez son interview en visionnant la vidéo suivante :  https://www.youtube.com/watch?v=6o9hE-83jTs

Célébration de la Journée de commémoration des victimes de l’holocauste : Quel est le rôle des voisins complices dans la Shoah ?

Dakar le 13 février 2020.- .A l’occasion de la Journée internationale dédiée à la commémoration des victimes de l’holocauste, le CINU a organisé une exposition suivie d’une séance de projection de documentaire. Auparavant, le message vidéo du Secrétaire Général de l’ONU, Antonio GUTERRES a été projeté.  C’était en présence de Son Excellence Roï Rosenblit, Ambassadeur de l’Etat d’Israël au Sénégal et des étudiants de l’Institut de Management.

Vernissage de l’exposition sur : »les voisins complices »

 « Le comptable d’Auschwitz », un documentaire d’une heure et quart, relate les affres et les souffrances des juifs. Les participants, même s’ils ont entendu parler de l’holocauste se retrouvent émus après avoir suivi ce film. Ils ont vécu ce moment d’histoire comme s’ils y étaient. Elson Nvinga, étudiant à l’Institut de Management, ne s’en revient pas. « C’était très émouvant. On a eu à découvrir ce qui s’est passé dans le cadre de l’holocauste. […]ce genre de journée permet à la jeunesse de comprendre ce qui s’est passé antérieurement »

Elson Nvinga, Etudiant à l’Institut de management

Au delà de ces émotions, Elson Nvinga et ses camarades s’interrogent sur le rôle des voisins complices dans la Shoah montré à travers une exposition de vingt-deux panneaux. Pourquoi y a-t-il eu d’ardents participants à la persécution des Juifs tandis que la plupart se contentaient d’accepter la situation en silence ou de suivre les autres ? Pourquoi si peu de gens sont-ils venus en aide aux victimes ? Comment les gens ont-ils réagi au drame de leurs camarades, collègues, voisins et amis juifs ?

Message vidéo du Secrétaire Général de l’ONU

Malgré le contexte qui était plus favorable pour collaborer avec les nazis ou périr, on notait quelques velléités de résistances. Des gens ordinaires pétris de justice sociale, portaient assistance à leurs voisins juifs. C’est ainsi qu’un juif du nom de Esther Bem remerciait ses sauveurs en ces termes : « Je suis tellement reconnaissant envers ceux qui nous ont sauvés.  Et ils […] étaient des gens ordinaires qu’on ne trouvera jamais dans les livres d’histoire [….] À une époque où la gentillesse était si rare, ils la cultivaient [….] Ils ne pensaient pas à eux [….]  C’est quelque chose que la génération née après la Shoah doit savoir, je crois, que les gens ont des choix [….] »

Un message qui a beaucoup attiré l’attention des participants sur la nécessité d’une coexistence pacifique dans la diversité.

l’

Conférence sur le « Développement Durable et Dette Soutenable » : Visite de Amina Mohammed, Vice-Secrétaire Générale de l’ONU au Sénégal.

Dakar le 4 décembre 2019 .- Mme Amina Mohammed, Vice-Secrétaire Générale de l’ONU, a profité de son séjour à Dakar pour rencontrer l’équipe pays du Système des Nations Unies, a visité les chantiers de la future « Maison des Nations Unies », construite par le Gouvernement du Sénégal et enfin, elle a accueilli avec enthousiasme les femmes sénégalaises entrepreneures, le 1er décembre 2019 dans les locaux du PNUD

Mme Amina Mohammed, Vice Secrétaire Générale de l’ONU (debout) & Mme Aminata Touré, Présidente du Conseil Economique, Social et Environnemental (CESE) du Sénégal avec les femmes sénégalaises entrepreneures

Mme Amina Mohammed recevant la « téranga » sénégalaise

En marge de la conférence, Mme Amina Mohammed a reçu l’équipe pays du Système des Nations Unies au Sénégal et les échanges ont porté sur 3 points essentiels :

  • Le Plan cadre des Nations Unies pour l’Assistance au Développement 2019-2023 qui est le document de référence qui définit les termes de la coopération entre le Système des Nations Unies et la Sénégal.
  • La « Maison des Nations Unies » en cours de réalisation à Diamniadio par le Gouvernement du Sénégal. Elle est le symbole de l’excellence des relations entre le Système des Nations Unies et le Gouvernement du Sénégal.
  • Et enfin la réforme de l’ONU dans laquelle le concept d’aide au développement est repensé pour une meilleure appropriation par les acteurs.

Mme Amina Mohammed & les femmes entrepreneures (Photo de famille)

Amina Mohammed a eu une séance d’échanges avec les femmes sénégalaises entrepreneures en présence de Mme Aminata Touré, Présidente du Conseil Economique et Social et Environnemental du Sénégal (CESE).

«… la vie est un grand voyage, dans lequel il faut prendre souvent des décisions difficiles, mais l’important est de persévérer et d’être conscient que chaque décision est une brique des fondations du futur.»  C’est avec ces mots de sagesse qu’Amina Mohammed a exhorté les jeunes femmes entrepreneures à viser le plus loin possible dans la formation et l’identification des opportunités d’affaires pour asseoir leur autonomie.

 

Six Chefs d’Etat africains et d’imminents experts d’institutions financières multilatérales au chevet de la dette africaine à Dakar.

Dakar le 6 Décembre.- Le Gouvernement du Sénégal, le Fonds Monétaire International (FMI) l’Organisation des Nations Unies (ONU) et le Cercle des économistes ont organisé une rencontre de haut niveau pour réfléchir sur : « Afrique : Développement durable, dette soutenable » le 2 décembre 2019 à Dakar.

Ouverture officielle de la Conférence sur la dette africaine

La conférence a enregistré la participation M. Amina Mohammed, Vice-Secrétaire Générale de l’ONU et des Chefs d’Etats africains suivants :  Roch Marc Christian Kaboré (Burkina Faso), de Mahamadou Issoufou (Niger), de Faure Gnassingbé (Togo), de Alassane Ouattara (Côte d’ivoire), Patrice Talon (Bénin) et enfin de Macky Sall (Sénégal). On a noté également la présence de la Directrice Générale du FMI, Mme Kristalina Georgieva.

Cette conférence, construite autour de six thématiques, a permis de couvrir un large spectre de réflexions et d’actions collectives à envisager pour répondre aux problématiques de soutenabilité de la dette africaine vis-à-vis du développement du continent. Le Cercle des économistes a déjà eu l’occasion d’affirmer que, l’avenir de l’économie mondiale se trouve en Afrique. Face au ralentissement global de l’économie mondiale et aux dérèglements macroéconomiques, politiques et financiers, la solution la plus crédible passe par l’Afrique dont le potentiel économique est énorme avec 60% de terres arables non cultivées, des ressources minières largement disponibles et une démographie qui devrait passer de 1,3 milliards d’habitants en 2019 à 2,5 milliards en 2050.

Les six secteurs suivants : l’eau, l’énergie, l’agriculture, la formation, le numérique et la mobilité, ont un dynamisme prometteur et des perspectives de croissance très encourageantes. Cependant la soutenabilité de ces secteurs représente un risque non négligeable même si la plupart des acteurs publics et privés sont dans une situation d’endettement supportable.

Après plusieurs heures de discussion et de débats, les acteurs se sont accordés sur sept points essentiels consignés dans un document appelé « le consensus de Dakar ».

  • Renforcer la mobilisation des ressources internes, fiscales et l’épargne publique
  • Améliorer la gouvernance des finances publiques et l’environnement des affaires
  • Prendre en compte la contrainte liée à l’impact environnemental
  • Financer les besoins en investissement en Afrique.
  • Solutionner les méfaits de l’échange inégal ; la faible rémunération des matières premières et le déficit persistant dans la création de chaines de valeurs
  • Avoir un regard objectif sur la perception du risque en Afrique
  • Et enfin trouver les bases d’une gouvernance financière mondiale plus équitable.

Le « Consensus de Dakar » va contribuer à faire converger une position de principe qui soit consensuelle sur un impératif délicat à savoir comment trouver le juste équilibre entre le développement durable et la dette soutenable.

Vidéoconférence avec la commandante Mme Seynabou DIOUF, lauréate du Prix de la policière des Nations Unies 2019 au Centre d’Information des Nations Unies à Dakar.

Vidéoconférence de la Commandante,Mme Seynabou DIOUF, lauréate du Prix international des policières du maintien de la paix au CINU

Dakar le 6 Novembre 2019. « Maman, je suis fière de toi » disait Fatimatou Bintou KANE, la fille de Mme DIOUF, après avoir suivi la cérémonie de remise du prix de la policière des Nations Unies 2019 le 5 novembre 2019. Le CINU a organisé, le même jour, une vidéoconférence à la salle « Nelson Mandela » pour suivre avec ses partenaires la retransmission de la cérémonie. A l’issue de celle-ci, les journalistes, les représentants de la police nationale et Fatimatou B. KANE ont échangé avec la lauréate, Mme DIOUF. Continuer la lecture

La Police sénégalaise honorée : Mme Seynabou DIOUF, Commandant, lauréate 2019 du prix de la policière des Nations Unies.

Dakar le 1er Novembre. –  « Pour une victime qui a besoin de secours et de protection, rien

Commandant, Mme Seynabou DIOUF de MONUSCO

n’est plus réconfortant que la vue de policières fortes… », a expliqué la Vice-Secrétaire générale de l’ONU Asha-Rose Migiro, lors du lancement du Réseau international des policières du maintien de la paix, le 21 août 2011, pendant la conférence annuelle de l’Association internationale des policières, tenue à Lexington, dans le Kentucky (États-Unis d’Amérique).

Le comité de sélection qui a examiné 30 candidatures provenant de huit missions, a porté son choix sur Mme Seynabou DIOUF, Commandant de la Police Nationale du Sénégal. Elle reçoit, cette année, le 5 novembre 2019, le prix de la policière des Nations Unies pour son travail remarquable qu’elle a accompli au sein de la Mission des Nations Unies pour la Stabilisation en République démocratique du Congo (MONUSCO) à Goma, dans le Nord Kivu. Responsable du Réseau des femmes de la police de la MONUSCO qui relie des policières dans des activités de formation, d’accompagnement et de développement professionnels et d’appui mutuel, Mme DIOUF a pris d’importantes initiatives qui ont renforcé la police nationale congolaise. Elle a également assisté des victimes de violences sexuelles au sein du Réseau des femmes de la police de la MONUSCO. Elle incarne les valeurs et les vertus cardinales de l’ONU. « Elle est un exemple pour nous tous » déclare le Commissaire Luis Carrilho, Conseiller de police des Nations Unies.

Faut-il rappeler que cette distinction a été créée en 2010 par l’Association internationale des policières pour rendre hommage à la contribution de celles-ci aux opérations de maintien de la paix. Elle est décernée, pour la première fois en 2011, à Shahzadi Gulfam du Pakistan. En 2000, le Conseil de sécurité de l’ONU a adopté une résolution historique sur les femmes, la paix et la sécurité, qui reconnaît pour la première fois qu’il n’y aura jamais de stabilité durable tant que les femmes ne seront pas à la tête des négociations, des efforts d’instauration de la paix et de reconstruction des sociétés ravagées par la guerre. La capacité des femmes à apaiser les tensions, à favoriser la compréhension et à promouvoir la réconciliation, est reconnue par toute la communauté internationale.

Conférence sur les Afrodescendants : M. Malick SALL, Garde des Sceaux, Ministre de la Justice, ouvre la séance en présence Michelle Bachelet, Haut- Commissaire des Nations Unies aux droits de l’homme.

Dakar le 25 Octobre.- La conférence s’est tenue les 23 et 24 Octobre 2019 à Dakar (Sénégal) en présence de Michelle Bachelet, Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l’homme, de M. Adama Dieng, Conseiller spécial de l’ONU pour la prévention du génocide, le Représentant de l’Union Africaine et de plusieurs délégations de pays africains. En marge de la conférence, l’émission « impressions » de la chaîne de télévision 2STV a consacré, en partenariat avec le CINU Dakar,  un numéro spécial sur les écrivains Afrodescendants de langue Française, Anglaise et Portugaise https://www.youtube.com/watch=ML0MMMp0_qI&feature=share&fbclid=IwAR16KQ7L34krMH0cyKgnLiZU3lSYKApmVlI2XajitJ-ioSSljPG-ySH7sr0

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